Pays

Cap-Vert

445 espèces

Le Cap-Vert, en forme longue la république du Cap-Vert est un État insulaire d'Afrique de l'Ouest, composé d'un archipel de dix îles volcaniques.

Géographie

L'archipel du Cap-Vert se trouve dans l'océan Atlantique, au large des côtes du Sénégal, plus précisément de la presqu'île du Cap-Vert. Cette dernière se trouve à 571 kilomètres de Boa Vista, l'île la plus proche, et à 838 km de Santo Antão, la plus éloignée. Avec les Canaries, Madère et les Açores, ils forment la Macaronésie. Il se situe entre les 14e et 18e parallèles nord (latitude), et entre les 22e et 26e méridiens ouest (longitude).

L'archipel a une forme de sabot de cheval et se compose de dix îles (dont une est inhabitée) et huit îlots, recouvrant une superficie totale de 4 033 km2. Il se divise en deux séries d'îles :

  • au nord, les îles de Barlavento ( au vent) : Boa Vista, Sal, São Nicolau, Santa Luzia, São Vicente et Santo Antão.
  • au sud, les îles de Sotavento ( sous le vent) : Brava, Fogo, Santiago et Maio.

L'île la plus grande et la plus peuplée est celle de Santiago, qui comprend la capitale et plus grande ville du Cap-Vert, Praia. Trois îles (Sal, Boa Vista et Maio) présentent des paysages plats, sableux et secs. Les autres sont plus montagneuses et comportent davantage de végétation.

Le Cap-Vert bénéficie de quatre aéroports internationaux : l'aéroport Amílcar-Cabral sur l'île de Sal, l'aéroport Nelson-Mandela desservant Praia sur l'île de Santiago, l'aéroport Aristides-Pereira sur l'île de Boa Vista, et enfin l'aéroport Cesária-Évora sur l'île de São Vicente.

Géographie physique

La composition géologique des îles est en grande partie d'origine volcanique. Dominée par les roches magmatiques et plutoniques, elle présente des structures caractéristiques des reliefs volcaniques ainsi que des débris pyroclastiques. Sa succession pétrologique est comparable à celle des autres îles de la Macaronésie (Canaries, Madère et Açores). Des anomalies magnétiques identifiées à proximité de l'archipel montrent que sa structure géologique date d'il y a 125 à 150 millions d'années. Les îles elles-mêmes sont apparues il y a huit (à l'ouest) à vingt (à l'est) millions d'années. Les roches les plus anciennes se trouvent à Maio et sur la péninsule du nord de Santiago : il s'agit de pillow lavas datant d'il y a 128 à 131 millions d'années. La première phase du volcanisme capverdien a lieu au début du Miocène et atteint son paroxysme à la fin de cette époque, lorsque les îles atteignent leur taille maximale. Depuis l'apparition de l'humanité, les épisodes volcaniques se sont limités à la seule île de Fogo.

L'activité volcanique de ces îles s'explique par la présence d'un point chaud associé à un phénomène de houle bathymétrique, qui aurait formé les îles. Le Pico do Fogo (« Pic de feu ») est le plus grand volcan actif de la région : les dernières coulées de lave ne datent que de 1995 et 2014. Point culminant du Cap-Vert (2 829 m), il possède une caldeira en arc de cercle d'environ huit kilomètres de diamètre et de 1 600 mètres d'altitude. Formée après l'évacuation du magma lors d'une éruption, elle aurait subi un effondrement de près de 800 mètres il y a environ 250 000 ans. Elle récupère les eaux pluviales lors de la saison des pluies : absorbées par le sol très poreux, elles forment de nombreuses sources au bas de la montagne. En raison de leur formation d'origine volcanique, la plupart des îles ont un relief escarpé. Sur l'île de Santiago, se trouve un autre sommet remarquable. Il s'agit du Pico da Antónia, un ancien volcan dont l'altitude atteint 1 394 mètres.

Il existe également de vastes déserts de sel sur les îles de Sal et de Maio. À Santiago, Santo Antão, et São Nicolau, des champs de canne à sucre ou des bananeraies se trouvent sur les pentes des volcans dominant l'île. Quelques falaises ont été formées par de violents glissements de terrains. D'après le président de Nauru, le Cap-Vert est le huitième pays le plus menacé par la montée du niveau de la mer engendrée par le réchauffement climatique ; il est à ce titre membre de l'AOSIS.

Climat

Le climat y est chaud et sec, avec une moyenne des températures située entre 20 et 25 °C. Durant les mois de janvier et février, l'archipel subit l'influence des tempêtes de sable venues du Sahara.

Bien qu'un bon nombre d'ouragans affectant l'Amérique du Nord et les Antilles, entre mai et novembre, provenant d'ondes tropicales sortant au large de la côte africaine, passent par les îles du Cap-Vert, le pays a généralement peu à souffrir de ces systèmes. Ils sont seulement associés avec des zones orageuses désorganisées, étant dans leur stade très préliminaire de formation. Ainsi, l'ouragan Fred de 2015 (catégorie 1) était le premier ouragan à toucher ce petit pays depuis 1892 selon le National Hurricane Center américain. Ses vents en rafales à 140 km/h ont arraché des arbres dans certaines îles, les fortes houles ont détruit des équipements de la Marine sur une île, la compagnie aérienne cap-verdienne a annulé ses vols intérieurs et internationaux, les réseaux de télécommunications étaient affectés dans certaines zones, mais aucun décès n'a été signalé, selon la Protection civile cap-verdienne et l'Institut national de la météorologie et géophysique (INMG, public).

Milieux

L'archipel constitue une écorégion terrestre dans la classification du Fonds mondial pour la nature sous le nom de « forêts sèches des îles du Cap-Vert ». Elle appartient au biome des forêts de feuillus sèches tropicales et subtropicales de l'écozone afrotropicale.

La végétation indigène est aujourd'hui gravement fragmentée et se limite essentiellement aux sommets des montagnes et autres zones inaccessibles. Ces vestiges sont cependant importants, car ils contiennent quelques-unes des rares zones de forêts sèches en Afrique et abritent un certain nombre d'espèces endémiques.

Flore

La flore du Cap-Vert est très diversifiée et caractérisée par un haut taux d'endémicité. Sur les 240 espèces d'Angiospermes indigènes, 85 sont endémiques. Parmi elles, on trouve notamment Aeonium gorgoneum, Campanula bravensis, Nauplius smithii, Artemisia gorgonum, Sideroxylon marginata, Lotus jacobaeus, Lavandula rotundifolia, Sarcostemma daltonii, Euphorbia tuckeyana et Erysimum caboverdeanum.

Faune

Le Cap-Vert ne possède aucune espèce de mammifère indigène, cependant de nombreuses espèces ont été introduites. Parmi elles, un primate, le grivet d'Éthiopie (Cercopithecus aethiops), plusieurs espèces de chauves-souris, l'oreillard gris (Plecotus austriacus), la vespère de Savi (Hypsugo savii), la pipistrelle de Kuhl (Pipistrellus kuhlii) et une espèce de mangouste, la mangouste rouge (Galerella sanguinea). On trouve des chèvres marronnes sur l'île de Fogo, importées par les Portugais. Ils ont également introduit des rongeurs par accident.

Le territoire ne compte pas d'amphibien à l'état naturel, mais une espèce introduite Bufo regularis.

Le Cap-Vert abrite de nombreuses espèces d'oiseaux. On peut y observer 130 espèces migratrices, dont 36 qui nichent sur le territoire. Il compte également des espèces non migratrices, dont quatre sont endémiques : le martinet du Cap-Vert (Apus alexandri), l'alouette de Razo (Alauda razae), la rousserolle du Cap-Vert (Acrocephalus brevipennis) et le moineau du Cap-Vert (Passer iagoensis). Bien que non endémiques, le flamant rose (Phoenicopterus roseus) et le vautour percnoptère (Neophron percnopterus) sont très communs.

La faune du Cap-Vert est riche en arthropodes, elle compte 111 espèces d'araignées connues dont 41 % endémiques, 470 espèces de coléoptères dont 33 % endémiques, 251 espèces d'hyménoptères dont 33 % endémiques et 204 espèces de diptères dont 26 % endémiques.

La faune marine est constituée de coraux, de crustacés, de mollusques, de requins et d'autres poissons et de cétacés (dauphins, baleines). On y trouve plusieurs espèces de langoustes, comme Panulirus regius, Palinurus charlestoni, Panulirus echinatus et Scyllarides latus. Ces espèces ont été très exploitées en raison de leur valeur économique et sont maintenant en danger.

Les espèces de poissons les plus communes sont le thon jaune (Thunnus albacares), la bonite à ventre rayé (Katsuwonus pelamis), Decapterus macarellus, D. punctatus, Selar crumenophthalmus, Epinephelus guaza et Cephalopholis taeniops. Les requins présents appartiennent majoritairement au genre Centrophorus, on peut également observer le requin-tigre (Galeocerdo cuvier) et Mustelus mustelus.

L'archipel abrite 5 espèces de tortues marines : la tortue luth (Dermochelys coriacea), la tortue imbriquée (Eretmochelys imbricata), la tortue olivâtre (Lepidochelys olivacea), la tortue verte (Chelonia mydas) et la tortue caouanne (Caretta caretta). Ces tortues viennent tous les ans de mai à septembre pour déposer leurs œufs. Les plages de l'île de Boa Vista constituent le troisième site mondial de nidification des tortues caouannes.

En hiver, on peut observer la baleine à bosse (Megaptera novaeangliae) qui se reproduit probablement près de l'archipel durant cette période.

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Le Cap-Vert, en forme longue la république du Cap-Vert est un État insulaire d'Afrique de l'Ouest, composé d'un archipel de dix îles volcaniques.

Géographie

L'archipel du Cap-Vert se trouve dans l'océan Atlantique, au large des côtes du Sénégal, plus précisément de la presqu'île du Cap-Vert. Cette dernière se trouve à 571 kilomètres de Boa Vista, l'île la plus proche, et à 838 km de Santo Antão, la plus éloignée. Avec les Canaries, Madère et les Açores, ils forment la Macaronésie. Il se situe entre les 14e et 18e parallèles nord (latitude), et entre les 22e et 26e méridiens ouest (longitude).

L'archipel a une forme de sabot de cheval et se compose de dix îles (dont une est inhabitée) et huit îlots, recouvrant une superficie totale de 4 033 km2. Il se divise en deux séries d'îles :

  • au nord, les îles de Barlavento ( au vent) : Boa Vista, Sal, São Nicolau, Santa Luzia, São Vicente et Santo Antão.
  • au sud, les îles de Sotavento ( sous le vent) : Brava, Fogo, Santiago et Maio.

L'île la plus grande et la plus peuplée est celle de Santiago, qui comprend la capitale et plus grande ville du Cap-Vert, Praia. Trois îles (Sal, Boa Vista et Maio) présentent des paysages plats, sableux et secs. Les autres sont plus montagneuses et comportent davantage de végétation.

Le Cap-Vert bénéficie de quatre aéroports internationaux : l'aéroport Amílcar-Cabral sur l'île de Sal, l'aéroport Nelson-Mandela desservant Praia sur l'île de Santiago, l'aéroport Aristides-Pereira sur l'île de Boa Vista, et enfin l'aéroport Cesária-Évora sur l'île de São Vicente.

Géographie physique

La composition géologique des îles est en grande partie d'origine volcanique. Dominée par les roches magmatiques et plutoniques, elle présente des structures caractéristiques des reliefs volcaniques ainsi que des débris pyroclastiques. Sa succession pétrologique est comparable à celle des autres îles de la Macaronésie (Canaries, Madère et Açores). Des anomalies magnétiques identifiées à proximité de l'archipel montrent que sa structure géologique date d'il y a 125 à 150 millions d'années. Les îles elles-mêmes sont apparues il y a huit (à l'ouest) à vingt (à l'est) millions d'années. Les roches les plus anciennes se trouvent à Maio et sur la péninsule du nord de Santiago : il s'agit de pillow lavas datant d'il y a 128 à 131 millions d'années. La première phase du volcanisme capverdien a lieu au début du Miocène et atteint son paroxysme à la fin de cette époque, lorsque les îles atteignent leur taille maximale. Depuis l'apparition de l'humanité, les épisodes volcaniques se sont limités à la seule île de Fogo.

L'activité volcanique de ces îles s'explique par la présence d'un point chaud associé à un phénomène de houle bathymétrique, qui aurait formé les îles. Le Pico do Fogo (« Pic de feu ») est le plus grand volcan actif de la région : les dernières coulées de lave ne datent que de 1995 et 2014. Point culminant du Cap-Vert (2 829 m), il possède une caldeira en arc de cercle d'environ huit kilomètres de diamètre et de 1 600 mètres d'altitude. Formée après l'évacuation du magma lors d'une éruption, elle aurait subi un effondrement de près de 800 mètres il y a environ 250 000 ans. Elle récupère les eaux pluviales lors de la saison des pluies : absorbées par le sol très poreux, elles forment de nombreuses sources au bas de la montagne. En raison de leur formation d'origine volcanique, la plupart des îles ont un relief escarpé. Sur l'île de Santiago, se trouve un autre sommet remarquable. Il s'agit du Pico da Antónia, un ancien volcan dont l'altitude atteint 1 394 mètres.

Il existe également de vastes déserts de sel sur les îles de Sal et de Maio. À Santiago, Santo Antão, et São Nicolau, des champs de canne à sucre ou des bananeraies se trouvent sur les pentes des volcans dominant l'île. Quelques falaises ont été formées par de violents glissements de terrains. D'après le président de Nauru, le Cap-Vert est le huitième pays le plus menacé par la montée du niveau de la mer engendrée par le réchauffement climatique ; il est à ce titre membre de l'AOSIS.

Climat

Le climat y est chaud et sec, avec une moyenne des températures située entre 20 et 25 °C. Durant les mois de janvier et février, l'archipel subit l'influence des tempêtes de sable venues du Sahara.

Bien qu'un bon nombre d'ouragans affectant l'Amérique du Nord et les Antilles, entre mai et novembre, provenant d'ondes tropicales sortant au large de la côte africaine, passent par les îles du Cap-Vert, le pays a généralement peu à souffrir de ces systèmes. Ils sont seulement associés avec des zones orageuses désorganisées, étant dans leur stade très préliminaire de formation. Ainsi, l'ouragan Fred de 2015 (catégorie 1) était le premier ouragan à toucher ce petit pays depuis 1892 selon le National Hurricane Center américain. Ses vents en rafales à 140 km/h ont arraché des arbres dans certaines îles, les fortes houles ont détruit des équipements de la Marine sur une île, la compagnie aérienne cap-verdienne a annulé ses vols intérieurs et internationaux, les réseaux de télécommunications étaient affectés dans certaines zones, mais aucun décès n'a été signalé, selon la Protection civile cap-verdienne et l'Institut national de la météorologie et géophysique (INMG, public).

Milieux

L'archipel constitue une écorégion terrestre dans la classification du Fonds mondial pour la nature sous le nom de « forêts sèches des îles du Cap-Vert ». Elle appartient au biome des forêts de feuillus sèches tropicales et subtropicales de l'écozone afrotropicale.

La végétation indigène est aujourd'hui gravement fragmentée et se limite essentiellement aux sommets des montagnes et autres zones inaccessibles. Ces vestiges sont cependant importants, car ils contiennent quelques-unes des rares zones de forêts sèches en Afrique et abritent un certain nombre d'espèces endémiques.

Flore

La flore du Cap-Vert est très diversifiée et caractérisée par un haut taux d'endémicité. Sur les 240 espèces d'Angiospermes indigènes, 85 sont endémiques. Parmi elles, on trouve notamment Aeonium gorgoneum, Campanula bravensis, Nauplius smithii, Artemisia gorgonum, Sideroxylon marginata, Lotus jacobaeus, Lavandula rotundifolia, Sarcostemma daltonii, Euphorbia tuckeyana et Erysimum caboverdeanum.

Faune

Le Cap-Vert ne possède aucune espèce de mammifère indigène, cependant de nombreuses espèces ont été introduites. Parmi elles, un primate, le grivet d'Éthiopie (Cercopithecus aethiops), plusieurs espèces de chauves-souris, l'oreillard gris (Plecotus austriacus), la vespère de Savi (Hypsugo savii), la pipistrelle de Kuhl (Pipistrellus kuhlii) et une espèce de mangouste, la mangouste rouge (Galerella sanguinea). On trouve des chèvres marronnes sur l'île de Fogo, importées par les Portugais. Ils ont également introduit des rongeurs par accident.

Le territoire ne compte pas d'amphibien à l'état naturel, mais une espèce introduite Bufo regularis.

Le Cap-Vert abrite de nombreuses espèces d'oiseaux. On peut y observer 130 espèces migratrices, dont 36 qui nichent sur le territoire. Il compte également des espèces non migratrices, dont quatre sont endémiques : le martinet du Cap-Vert (Apus alexandri), l'alouette de Razo (Alauda razae), la rousserolle du Cap-Vert (Acrocephalus brevipennis) et le moineau du Cap-Vert (Passer iagoensis). Bien que non endémiques, le flamant rose (Phoenicopterus roseus) et le vautour percnoptère (Neophron percnopterus) sont très communs.

La faune du Cap-Vert est riche en arthropodes, elle compte 111 espèces d'araignées connues dont 41 % endémiques, 470 espèces de coléoptères dont 33 % endémiques, 251 espèces d'hyménoptères dont 33 % endémiques et 204 espèces de diptères dont 26 % endémiques.

La faune marine est constituée de coraux, de crustacés, de mollusques, de requins et d'autres poissons et de cétacés (dauphins, baleines). On y trouve plusieurs espèces de langoustes, comme Panulirus regius, Palinurus charlestoni, Panulirus echinatus et Scyllarides latus. Ces espèces ont été très exploitées en raison de leur valeur économique et sont maintenant en danger.

Les espèces de poissons les plus communes sont le thon jaune (Thunnus albacares), la bonite à ventre rayé (Katsuwonus pelamis), Decapterus macarellus, D. punctatus, Selar crumenophthalmus, Epinephelus guaza et Cephalopholis taeniops. Les requins présents appartiennent majoritairement au genre Centrophorus, on peut également observer le requin-tigre (Galeocerdo cuvier) et Mustelus mustelus.

L'archipel abrite 5 espèces de tortues marines : la tortue luth (Dermochelys coriacea), la tortue imbriquée (Eretmochelys imbricata), la tortue olivâtre (Lepidochelys olivacea), la tortue verte (Chelonia mydas) et la tortue caouanne (Caretta caretta). Ces tortues viennent tous les ans de mai à septembre pour déposer leurs œufs. Les plages de l'île de Boa Vista constituent le troisième site mondial de nidification des tortues caouannes.

En hiver, on peut observer la baleine à bosse (Megaptera novaeangliae) qui se reproduit probablement près de l'archipel durant cette période.

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