Région

Wallis-et-Futuna

469 espèces

Wallis-et-Futuna ou les îles Wallis et Futuna, en forme longue le territoire des îles Wallis et Futuna, est une collectivité d'outre-mer française, formée de trois royaumes coutumiers polynésiens et située dans l’hémisphère sud.

Climat

Le climat de l'archipel est du type tropical humide assez constant sur l'année. L'amplitude thermique entre les moyennes du mois le plus chaud (février, max 31°/mini 25°) et du mois le plus frais (juillet, max 29°/mini 24°) est de 1,1 °C. Les précipitations mensuelles varient de 400 mm en janvier à 150 mm en août. On distingue ainsi deux principales saisons. La première, de mai à septembre, est plutôt fraîche, moins arrosée et balayée par un alizé modéré. La seconde, d'octobre à avril, est celle des chaleurs et des fortes pluies avec parfois des cyclones.

Biodiversité

À Wallis, 639 espèces de poissons littoraux ont été identifiées. En eaux douces, ce sont trois espèces de crustacés et quatre espèces de poissons qui ont été inventoriées (dont le Stiphodon rubromaculatus). Les chauve-souris sont les seuls mammifères autochtones et le seul batracien présent a été introduit. On y trouve également l'araignée Schizocosa vulpecula.

Le porc joue un rôle important dans la culture wallisienne et futunienne, et de nombreux habitants en élèvent.

Changement climatique

Wallis-et-Futuna est vulnérable au changement climatique. L'exploitation du sable par l'industrie du bâtiment locale a renforcé l'érosion des côtes. Ce phénomène, couplé à la montée des eaux, entraîne une réduction de la surface habitable, ce qui nécessitera à terme un déplacement des populations vers l'intérieur des terres. Toutefois, les règles complexes régissant l'usage de la terre doivent être prise en compte.

Les cyclones sont plus fréquents et certains se produisent hors saison, tels que le cyclone Ella en 2017. Les changements climatiques risquent de réduire la production agricole, renforçant la dépendance alimentaire aux produits importés. Afin de trouver des solutions adaptées, il est nécessaire de tenir compte des normes culturelles de la population et de passer par l'organisation sociale structurée par la chefferie coutumière.

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Wallis-et-Futuna ou les îles Wallis et Futuna, en forme longue le territoire des îles Wallis et Futuna, est une collectivité d'outre-mer française, formée de trois royaumes coutumiers polynésiens et située dans l’hémisphère sud.

Climat

Le climat de l'archipel est du type tropical humide assez constant sur l'année. L'amplitude thermique entre les moyennes du mois le plus chaud (février, max 31°/mini 25°) et du mois le plus frais (juillet, max 29°/mini 24°) est de 1,1 °C. Les précipitations mensuelles varient de 400 mm en janvier à 150 mm en août. On distingue ainsi deux principales saisons. La première, de mai à septembre, est plutôt fraîche, moins arrosée et balayée par un alizé modéré. La seconde, d'octobre à avril, est celle des chaleurs et des fortes pluies avec parfois des cyclones.

Biodiversité

À Wallis, 639 espèces de poissons littoraux ont été identifiées. En eaux douces, ce sont trois espèces de crustacés et quatre espèces de poissons qui ont été inventoriées (dont le Stiphodon rubromaculatus). Les chauve-souris sont les seuls mammifères autochtones et le seul batracien présent a été introduit. On y trouve également l'araignée Schizocosa vulpecula.

Le porc joue un rôle important dans la culture wallisienne et futunienne, et de nombreux habitants en élèvent.

Changement climatique

Wallis-et-Futuna est vulnérable au changement climatique. L'exploitation du sable par l'industrie du bâtiment locale a renforcé l'érosion des côtes. Ce phénomène, couplé à la montée des eaux, entraîne une réduction de la surface habitable, ce qui nécessitera à terme un déplacement des populations vers l'intérieur des terres. Toutefois, les règles complexes régissant l'usage de la terre doivent être prise en compte.

Les cyclones sont plus fréquents et certains se produisent hors saison, tels que le cyclone Ella en 2017. Les changements climatiques risquent de réduire la production agricole, renforçant la dépendance alimentaire aux produits importés. Afin de trouver des solutions adaptées, il est nécessaire de tenir compte des normes culturelles de la population et de passer par l'organisation sociale structurée par la chefferie coutumière.

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